mercredi 28 juillet 2010

IG Mag N°9

L'IG Mag nouveau est arrivé ! De bons moments de lecture en perspective avec notamment un gros dossier sur les jeux d'infiltration ainsi que sur la licence Star Wars. Il y a même une interview de Nadine Morano (qu'il me tarde de lire d'ailleurs, aurait-elle enfin mis de l'eau dans son vin ?). Bref que des bonnes choses à se mettre sous les yeux, toujours sans pub et toujours aussi riche. Que demandent les joueurs ?

Bonne lecture !

mardi 27 juillet 2010

Warhammer 40k : Space Marine sur PC


Parfois on surfe sur ses sites préférés et on tombe sur une annonce qui nous met en joie pour le reste de la journée. Relic est en train de développer un TPS (third person shooter) dans le magnifique univers de Warhammer 40K qui avait déjà permis de pondre les excellents Dawn of War par le même développeur. Et alors que le soft était uniquement prévu sur X360 et PS3, Relic a annoncé que le soft viendrait faire un tour sur les machines de compétitions des joueurs PC. Et ça, quand on connait la qualité des jeux de Relic (DoW 1 et 2 sont pour moi les meilleurs RTS jamais sortis), on ne peut que s'en réjouir. Vivement 2011 !

vendredi 23 juillet 2010

Sens Critique, à moi le beta-test

Grâce à Artsenic qui a campé pour moi sur Facebook pour récupérer une invitation, j'ai enfin accès à Sens Critique, un site créé par Clément Apap, ancien redacteur en chef et co-créateur du site de jeu vidéo Gamekult. Le but de ce site communautaire est de permettre à chacun de poster ses critiques de films, jeux video, séries ou encore de bouquins. Il est donc fort probable que certaines de mes critiques de jeux postées en ces lieux aillent faire un tour sur ce site.

A vous voir sur ce site :)

dimanche 11 juillet 2010

Max Payne - Waking up from the American Dream


Souvent, un jeu se définit par son gameplay, par le fun qu'il procure manette en main, par l'expérience de jeu qu'on en retire, par le délicieux sentiment d'être un r0xx0r PGM qui 0wn tout le monde lorsqu'on termine un niveau, mais parfois – trop rarement selon moi – un jeu est avant tout une oeuvre, c'est à dire quelque chose que l'on ressent, que l'on vit. C'est le cas des Max Payne, que j'ai fini il y a peu.

Prenez un flic fier de son boulot, poli, serviable, amoureux de sa femme et de son enfant, sans histoires : un mec heureux quoi, comme on en voit que dans les films. Tuez sa femme, son enfant et regardez-le dépérir. Devenir aigri, solitaire, embourbé dans les méandres d'une culpabilité imaginaire, et puis avoir soif de vengeance. Tout détruire à coup de double flingues en slow-motion en bouffant des painkillers pour tenir debout, faire des blagues de merde avant de faire danser les coupables au son des douilles qui tombent sur le sol.

C'est ça, Max Payne. Une ambiance de film noir qui est d'autant plus prenante qu'elle est servie par des BD super classes et les commentaires in-game de Max. Et que dire de la qualité d'écriture de ce jeu ? Cette voix grave qui nous sort des phrases digne d'un putain de roman ne peut que faire bander le littéraire que je suis. C'est sûrement pour ça que j'ai autant aimé Max Payne I

J'ai préféré le II. Pourquoi ? Parce que c'est tout ce que je viens de citer, plus des séquences qui sont pour moi mythiques où le personnage est vraiment remis en question. Quand on voit un connard alcoolique en cuir expliquer à un policier qui bosse avec nous que ce n'est pas lui qui a tué sa femme mais qu'il est victime d'une conspiration et qu'il peut tout régler si on lui laisse un flingue et un permis de tuer, ça ne peut que faire penser à la situation de notre protagoniste. Et la funhouse abandonnée où les décors en carton et autres animations kitschs font office de mise en abyme étonnante.

Jouez à Max Payne. Le premier est moche, le second non. Il faut supporter un peu le premier parce que les deux sont très liés. Pour moi c'est limite un seul et même jeu. Du coup, j'ai peur pour Max Payne 3. Rockstar ils sont bons, mais peut-être pas autant que Remedy pour la narration. Et puis bon, passer de New York aux favelas, ça fait foutrement moins film noir d'un coup...

samedi 10 juillet 2010

Nouveauté sous forme de tribune

Parfois il y a des gens qui te proposent un truc qui te semble une bonne idée. Et quand cette personne est un très bon ami, qu'il propose d'écrire des articles sur le jeu vidéo et qu'en plus il a un style bien à lui, on a pas envie de dire non. Voire même envie de dire oui. C'est donc ce que j'ai fais, une nouvelle rubrique sous forme d'articles complètement libres à période certainement variable se créée donc en ces lieux. Bienvenue à Artsenic, premier co-auteur de ce petit blog :)

jeudi 1 juillet 2010

Toki Tori


Steam c'est fourbe, à fortiori en période de soldes. Des jeux qui nous tentaient déjà auparavant se retrouvent miraculeusement dans notre panier pour quelques brouzoufs (si tant est que, comme moi, on a autant de volonté qu'un fan de SF devant un coffret de Battlestar Gallactica). Mais si je suis bien faible quand il s'agit d'ajouter de nouveaux jeux à ma collection, je mets un point d'honneur à ne télécharger que de l'indépendant ou du petit jeu, préférant pour le reste les bonnes vieilles boites qui prennent la poussière sur les étagères.


Z'oeuf suis tout rond et jaune, je suis, je suis...

Tout ça pour finalement parlé de quoi. Si vous êtes finement observateur, vous avez remarqué en haut de l'article. Ce joli poussin dodu est le héros de Toki Tori, un puzzle game développé par Two Tribes, remake PC d'un jeu sorti sur Gameboy Color en septembre 2001. Le dit-poussin doit récupérer des oeufs dans des niveaux plein de plateforme et d'ennemis. Le principe intéressant du soft est que le poussin dispose au fil des niveaux d'outils en quantité limité pour finir le niveau. Pour l'instant j'ai eu accès à des planches qui se posent devant le poussin et permettent de passer des trous dans le sol, d'un téléporteur accordant le pouvoir de se transposer à quelques pas d'intervalle dans les 4 directions et un pistolet glaçant pour geler les ennemis. Ces outils sont introduits petit à petit dans le jeu afin d'améliorer les possibilités sans perdre le joueur et ainsi augmenter progressivement la difficulté des puzzles.

Conclusion

J'ai fini le premier monde et force est de constater que la mayonnaise a prix. Je ne suis pourtant pas forcément friand de puzzle game car rares sont ceux qui ne me lassent pas rapidement. Mais Toki Tori m'a accroché autant par son style graphique très cartoon et coloré que par son gameplay simple mais loin d'être simpliste. De bonnes heures de cuisson du cerveau en perspective...